Gilles Pélisson, le nouveau Directeur Général du Groupe ACCOR a présenté à la presse son Comité exécutif dont l'un des axes stratégiques sera de donner une visibilité accrue aux marques.
"Le comité exécutif sera au service d'une ambition, devenir le leader de l'hôtellerie et des services reconnu par ses marques pour la qualité de ses services (...) Donner une visibilité accrue aux marques hôtelières sera l'un des grands pivots de notre action", a déclaré Gilles Pélisson.
Quatrième groupe hôtelier mondial avec 4.000 hôtels répartis dans 92 pays, Accor occupe la première place sur le marché européen et sur le segment économique avec les enseignes Ibis, Etap Hotel, Formule 1, Motel 6 et Red Roofs.
Accor est également présent dans l'hôtellerie haut et milieu de gamme au travers des marques Sofitel, Novotel et Mercure et dans les titres de services (chèques cadeaux, tickets restaurants, etc.).
"L'un des grands enjeux est de nous assurer que chacune de ces marques a un positionnement bien clarifié sur le marché", a-t-il ajouté. "Le groupe est bien portant, largement désendetté, nous avons des marges de manoeuvre intéressantes. A nous de nous assurer que les marques hôtelières sont capables de bien porter leur croissance".
Au delà de cette action marketing, dont aura notamment la charge un directeur général en cours de recrutement, Gilles Pélisson entend poursuivre la politique de cessions des murs et mener une revue stratégique des actifs du groupe.
"Accor a un patrimoine très bien doté et le fait de pouvoir céder les murs fait partie de nos métiers et de nos enjeux. Les cessions qui ont commencé continueront il n'y a pas de raison de ne pas en profiter surtout dans les moments de haut de cycle", a-t-il dit.
Mais il "fait aussi partie des objectifs d'Accor de créer de nouveaux actifs", qui seront à leur tour cédés à terme, 5 à 10 ans plus tard, a-t-il souligné.
Sur le périmètre du groupe, Gilles Pélisson a estimé que le restaurateur Le Nôtre et les participations dans le Club Méditerranée et dans le groupe de casinos Lucien Barrière étaient des métiers "très proches" de l'hôtellerie, laissant entendre qu'ils avaient vocation à rester dans le groupe.
Il a également fait part de sa volonté d'accompagner le développement de sa filiale à 50% dédiée aux voyages d'affaires Carlson Wagonlit Travel.
En revanche, parmi les "métiers moins au centre mais qui sont aujourd'hui performants", il a cité la restauration ferroviaire et Go Voyage.
En présentant le comité exécutif de douze membres qui repose essentiellement sur une répartition géographique des responsabilités, Gilles Pélisson a insisté sur le caractère "multiculturel et multinational" de l'équipe.
L'ancienne direction avait été critiquée pour la faible place allouée aux étrangers dans un groupe dont 66% du chiffre d'affaires est réalisé à l'international.
"Le comité exécutif sera au service d'une ambition, devenir le leader de l'hôtellerie et des services reconnu par ses marques pour la qualité de ses services (...) Donner une visibilité accrue aux marques hôtelières sera l'un des grands pivots de notre action", a déclaré Gilles Pélisson.
Quatrième groupe hôtelier mondial avec 4.000 hôtels répartis dans 92 pays, Accor occupe la première place sur le marché européen et sur le segment économique avec les enseignes Ibis, Etap Hotel, Formule 1, Motel 6 et Red Roofs.
Accor est également présent dans l'hôtellerie haut et milieu de gamme au travers des marques Sofitel, Novotel et Mercure et dans les titres de services (chèques cadeaux, tickets restaurants, etc.).
"L'un des grands enjeux est de nous assurer que chacune de ces marques a un positionnement bien clarifié sur le marché", a-t-il ajouté. "Le groupe est bien portant, largement désendetté, nous avons des marges de manoeuvre intéressantes. A nous de nous assurer que les marques hôtelières sont capables de bien porter leur croissance".
Au delà de cette action marketing, dont aura notamment la charge un directeur général en cours de recrutement, Gilles Pélisson entend poursuivre la politique de cessions des murs et mener une revue stratégique des actifs du groupe.
"Accor a un patrimoine très bien doté et le fait de pouvoir céder les murs fait partie de nos métiers et de nos enjeux. Les cessions qui ont commencé continueront il n'y a pas de raison de ne pas en profiter surtout dans les moments de haut de cycle", a-t-il dit.
Mais il "fait aussi partie des objectifs d'Accor de créer de nouveaux actifs", qui seront à leur tour cédés à terme, 5 à 10 ans plus tard, a-t-il souligné.
Sur le périmètre du groupe, Gilles Pélisson a estimé que le restaurateur Le Nôtre et les participations dans le Club Méditerranée et dans le groupe de casinos Lucien Barrière étaient des métiers "très proches" de l'hôtellerie, laissant entendre qu'ils avaient vocation à rester dans le groupe.
Il a également fait part de sa volonté d'accompagner le développement de sa filiale à 50% dédiée aux voyages d'affaires Carlson Wagonlit Travel.
En revanche, parmi les "métiers moins au centre mais qui sont aujourd'hui performants", il a cité la restauration ferroviaire et Go Voyage.
En présentant le comité exécutif de douze membres qui repose essentiellement sur une répartition géographique des responsabilités, Gilles Pélisson a insisté sur le caractère "multiculturel et multinational" de l'équipe.
L'ancienne direction avait été critiquée pour la faible place allouée aux étrangers dans un groupe dont 66% du chiffre d'affaires est réalisé à l'international.
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