Après quinze ans de croissance exponentielle et 70 millions de visiteurs par an, dont 15 % d'étrangers, le marché des parcs de loisirs en France est aujourd'hui mâture. Et près d'un Français sur deux s'y rend en moyenne trois fois par an.
C'est à ce business que s'intéressera le prochain numéro du magazine économique de France 5, "C'est notre affaire", le mercredi 21 février à 10h35.
Si la préférence du public va aux parcs d'attractions traditionnels de type Disney ou Astérix, les parcs animaliers sont eux aussi très prisés. En France, ces deux sortes de produit regroupent 50 % des fréquentations annuelles dans le secteur. Viennent ensuite les aquariums, avec 16 % des visites.
Quant aux lieux à thème, à vocation culturelle, ils attirent un peu plus d'un visiteur sur dix, juste devant les parcs aquatiques. Aujourd'hui, 25 000 salariés travaillent au cœur de ces espaces de loisirs. Un chiffre qui double en haute saison.
Comme toute activité touristique, les parcs de loisirs connaissent un pic d'activité durant les vacances scolaires : "Le plus gros mois de l'année, est d'août, suivi d'avril puis février", explique Dominique Hummel, président du directoire du Futuroscope, à Poitiers, qui compte sur 100 000 visites en ce mois de février 2007.
Dans ce parc aux attractions futuristes, les deux tiers des visiteurs ont réservé au préalable. Le tiers restant se décide la veille. D'où l'importance de la météo, qui peut priver le parc de 20 à 30 % de sa fréquentation en cas de mauvais temps. Mais le principal défi, pour tous ces espaces de détente, est de faire revenir ses clients.
Pour y arriver un seul moyen : se renouveler constamment. Dominique Hummel semble avoir trouvé l'équation : "Modifier chaque année 20 % du contenu, ce qui demande d'investir 10 % de notre chiffre d'affaires, pour que 60 % des gens déjà venus aient envie de revenir". Ce qui représente dans son cas 6 à 7 millions d'euros réinjectés chaque année.
Objectif : 150 000 visiteurs de plus par an pour retrouver un équilibre dans les comptes. Pour ce parc, la recherche de la rentabilité est aussi passée par 250 départs volontaires en 2003. Il reste aujourd'hui un peu moins de 400 salariés en CDI.
Mais la zone autour du parc, appelée "technopole du Futuroscope", rassemble 200 entreprises et 6 000 emplois. Là où vingt ans auparavant, il n'y avait rien...
C'est à ce business que s'intéressera le prochain numéro du magazine économique de France 5, "C'est notre affaire", le mercredi 21 février à 10h35.
Si la préférence du public va aux parcs d'attractions traditionnels de type Disney ou Astérix, les parcs animaliers sont eux aussi très prisés. En France, ces deux sortes de produit regroupent 50 % des fréquentations annuelles dans le secteur. Viennent ensuite les aquariums, avec 16 % des visites.
Quant aux lieux à thème, à vocation culturelle, ils attirent un peu plus d'un visiteur sur dix, juste devant les parcs aquatiques. Aujourd'hui, 25 000 salariés travaillent au cœur de ces espaces de loisirs. Un chiffre qui double en haute saison.
Comme toute activité touristique, les parcs de loisirs connaissent un pic d'activité durant les vacances scolaires : "Le plus gros mois de l'année, est d'août, suivi d'avril puis février", explique Dominique Hummel, président du directoire du Futuroscope, à Poitiers, qui compte sur 100 000 visites en ce mois de février 2007.
Dans ce parc aux attractions futuristes, les deux tiers des visiteurs ont réservé au préalable. Le tiers restant se décide la veille. D'où l'importance de la météo, qui peut priver le parc de 20 à 30 % de sa fréquentation en cas de mauvais temps. Mais le principal défi, pour tous ces espaces de détente, est de faire revenir ses clients.
Pour y arriver un seul moyen : se renouveler constamment. Dominique Hummel semble avoir trouvé l'équation : "Modifier chaque année 20 % du contenu, ce qui demande d'investir 10 % de notre chiffre d'affaires, pour que 60 % des gens déjà venus aient envie de revenir". Ce qui représente dans son cas 6 à 7 millions d'euros réinjectés chaque année.
Objectif : 150 000 visiteurs de plus par an pour retrouver un équilibre dans les comptes. Pour ce parc, la recherche de la rentabilité est aussi passée par 250 départs volontaires en 2003. Il reste aujourd'hui un peu moins de 400 salariés en CDI.
Mais la zone autour du parc, appelée "technopole du Futuroscope", rassemble 200 entreprises et 6 000 emplois. Là où vingt ans auparavant, il n'y avait rien...
Cette émission sera rediffusée le 21 février à 23h45.
Art du service mode d'emploi
Tags : parcs d'attraction, Futuroscope, Nausicaa, Vulcania, France 5
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