Les compagnies low-cost européennes doivent se préparer à affronter de sérieuses difficultés dans le futur, à en croire une étude du cabinet MacKinsey.
Selon Lucio Pompeo, son auteur, peu de compagnies à bas coûts devraient résister à la chute prévisible de leurs profits sous l'effet conjugué de trois facteurs : une saturation des marchés, des commandes d'avions sans rapport avec l'augmentation de la demande et une intensification de la concurrence entre les trois acteurs du marché que sont les compagnies traditionnelles, les compagnies charters et les low-cost.
Pompeo prédit par ailleurs que seules deux ou trois compagnies low-cost survivront à terme sur le marché européen.
Les trois plus importantes d'entre elles, Easyjet, Ryanair et Air Berlin, doivent recevoir 300 avions moyen-courrier d'ici à 2012, sans compter l'option prise sur 350 appareils supplémentaires.
En comparaison, les compagnies traditionnelles n'ont commandé que 30 appareils et pris une option sur 160 autres et ce alors même que leur part du marché européen est actuellement de 66%, les low-cost se contentant pour l'instant de 16%.
La récente faillite de la compagnie irlandaise Eujet semble confirmer ce sombre constat.
Selon Lucio Pompeo, son auteur, peu de compagnies à bas coûts devraient résister à la chute prévisible de leurs profits sous l'effet conjugué de trois facteurs : une saturation des marchés, des commandes d'avions sans rapport avec l'augmentation de la demande et une intensification de la concurrence entre les trois acteurs du marché que sont les compagnies traditionnelles, les compagnies charters et les low-cost.
Pompeo prédit par ailleurs que seules deux ou trois compagnies low-cost survivront à terme sur le marché européen.
Les trois plus importantes d'entre elles, Easyjet, Ryanair et Air Berlin, doivent recevoir 300 avions moyen-courrier d'ici à 2012, sans compter l'option prise sur 350 appareils supplémentaires.
En comparaison, les compagnies traditionnelles n'ont commandé que 30 appareils et pris une option sur 160 autres et ce alors même que leur part du marché européen est actuellement de 66%, les low-cost se contentant pour l'instant de 16%.
La récente faillite de la compagnie irlandaise Eujet semble confirmer ce sombre constat.
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