L'Union européenne a ajouté 29 compagnies aériennes, dont 27 certifiées en République du Kirghistan, à sa liste noire des transporteurs interdits sur son territoire.
Par rapport à la dernière mouture, de juin dernier, DAS Air Cargo du Kenya et Dairo Air Services d’Ouganda sont désormais soumises à une interdiction totale « en raison des graves carences en matière de sécurité détectées au cours des derniers mois au sein de ces deux compagnies jumelles », précise Bruxelles.
Les 27 compagnies certifiées en République du Kirghizstan sont également interdites sur le sol et dans le ciel européen « en raison de l’incapacité de l’autorité de contrôle nationale à en assurer la supervision effective ».
68 compagnies sont sorties de la liste, mais parce qu’elles se sont vues retirer leurs certificats par leurs pays. Il s’agit de 19 transporteurs du Congo RDC, de 21 du Liberia, de 18 du Sierra Leone et de 10 du Swaziland.
Par ailleurs, 8 compagnies récemment créées au Congo RDC ont été ajoutées à la liste des interdictions totales.
La compagnie Ariana Afghan Airlines d’Afghanistan « ayant vendu l’unique avion immatriculé en France avec lequel elle était autorisée à opérer en Europe », est également soumise à une interdiction totale.
Enfin Air Services Comores de la République des Comores, précédemment totalement interdite, est désormais soumise à une restriction opérationnelle et « pourra opérer vers la Communauté avec un appareil récemment équipé du matériel de sécurité adéquate ».
Pour Phuket Air, certifiée en Thaïlande, et pour Air Koryo, de la République populaire démocratique de Corée, la Commission prend note des progrès mais juge « qu’il serait prématuré de retirer ces transporteurs de la liste ».
D’autres compagnies, qui n’ont pas rejoint la liste noire, se trouvent dans le collimateur des experts sécurité de la Commission. Il s’agit de Pulkovo Aviation certifiée en Russie, de Pakistan International Airways du Pakistan, de Johnsons Air du Ghana et de Ajet (ex Helios Airways) certifiée à Chypre. Bruxelles estime qu’une interdiction immédiate ne s’imposait pas pour ces transporteurs mais qu’un « suivi vigilant de la mise en œuvre des mesures correctrices annoncées par ces opérateurs et leurs autorités de contrôle » serait assuré.
Par rapport à la dernière mouture, de juin dernier, DAS Air Cargo du Kenya et Dairo Air Services d’Ouganda sont désormais soumises à une interdiction totale « en raison des graves carences en matière de sécurité détectées au cours des derniers mois au sein de ces deux compagnies jumelles », précise Bruxelles.
Les 27 compagnies certifiées en République du Kirghizstan sont également interdites sur le sol et dans le ciel européen « en raison de l’incapacité de l’autorité de contrôle nationale à en assurer la supervision effective ».
68 compagnies sont sorties de la liste, mais parce qu’elles se sont vues retirer leurs certificats par leurs pays. Il s’agit de 19 transporteurs du Congo RDC, de 21 du Liberia, de 18 du Sierra Leone et de 10 du Swaziland.
Par ailleurs, 8 compagnies récemment créées au Congo RDC ont été ajoutées à la liste des interdictions totales.
La compagnie Ariana Afghan Airlines d’Afghanistan « ayant vendu l’unique avion immatriculé en France avec lequel elle était autorisée à opérer en Europe », est également soumise à une interdiction totale.
Enfin Air Services Comores de la République des Comores, précédemment totalement interdite, est désormais soumise à une restriction opérationnelle et « pourra opérer vers la Communauté avec un appareil récemment équipé du matériel de sécurité adéquate ».
Pour Phuket Air, certifiée en Thaïlande, et pour Air Koryo, de la République populaire démocratique de Corée, la Commission prend note des progrès mais juge « qu’il serait prématuré de retirer ces transporteurs de la liste ».
D’autres compagnies, qui n’ont pas rejoint la liste noire, se trouvent dans le collimateur des experts sécurité de la Commission. Il s’agit de Pulkovo Aviation certifiée en Russie, de Pakistan International Airways du Pakistan, de Johnsons Air du Ghana et de Ajet (ex Helios Airways) certifiée à Chypre. Bruxelles estime qu’une interdiction immédiate ne s’imposait pas pour ces transporteurs mais qu’un « suivi vigilant de la mise en œuvre des mesures correctrices annoncées par ces opérateurs et leurs autorités de contrôle » serait assuré.
La liste complète est ici
Le mode d'emploi d'Art du service est ici
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire