Voici son concept tel qu'il est présenté par ses promoteurs :
"Il s'agit d'une aérogare différente qui privilégie la convivialité et la nouveauté, et où tout le superflu a été repensé afin de ne garder que l'essentiel : la sécurité, la convivialité et la sûreté.
- Il n'y pas de moquette, pas de marbre, pas d'écrans plats au desssus de l'enregistrement
- Vous apportez vous-même votre bagage au contrôle de sûreté
- Vous montez des escaliers (et non des escalators)
- Vous embarquez à pied par la piste (et non par une passerelle)=> Vous contribuez ainsi à réduire le coût d'exploitation de cette aérogare = plusieurs euros économisés sur le coût de votre voyage."
L'investissement, financé pour moitié par le Conseil général, s'élève à 16,4 millions d'euros.
Les destinations desservies : Dublin, Glasgow, Bruxelles, Eindhoven, Fès, Francfort, Karlsruhe Baden, Londres-Stansted, Marrakech, Oujda, Oslo, Porto et Rome.
L'objectif annoncé est d'accueillir un million de passagers supplémentaires chaque année.
Les taxes aéroportuaires à payer par les compagnies ont été fixées à 1,32 euro par passager contre 6,19 euros pour l'aérogare historique desservie par les grandes compagnies.
Cette distorsion tarifaire motive d'ailleurs le recours déposé par Air France devant le Conseil d'Etat.
Dans son édition du jour, Libération compare mp2 à "un hypermarché sans gondoles" dans lequel "rien ne respire le haut de gamme à l'exception des tarifs du bar".
Le mode d'emploi d'Art du service est ici
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